Petit frere

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Overview

Aïda Aznavour-Garvarentz était, comme son frère Charles Aznavour, douée pour le music-hall, et y connut le succès avant lui. Aïda Aznavourian n'a que seize mois de plus que Charles. Ils furent élevés comme des jumeaux. Bébé, Charles répétait le nom qu'elle lui donnait en arménien, « Apaïguess » (« Petit frère »), et l'a toujours appelée ainsi.

Ce livre est la « saga » d'une famille arménienne: Aïda y évoque les souvenirs familiaux des atrocités du génocide arménien de 1915-17 aux mains des Turcs, l'arrivée de la famille en France en 1924 comme immigrés sans le sou, leurs années difficiles au quartier Latin à Paris durant lesquelles leur père, musicien arménien de talent mais sans succès, travaillait dur dans divers restaurants et leur mère cousait dans leurs minuscules logements pour gagner quelque argent, et enfin les premiers succès de Charles. En 1943-44, Aïda participa avec toute sa famille aux activités anti-nazies du réseau Manouchian de la Résistance dont elle relate les actions de manière poignante. Ces mémoires sont riches en personnalités, avec, au premier plan, celle de Charles Aznavour, qui dit de sa sœur: « Aïda, c'est ma mémoire. »

« Petit Frère est intéressant par deux aspects: Charles Aznavour et Missak Manouchian. Charles Aznavour. Chacun, du moins les amateurs de confidences, connaît l'existence publique de l'ambassadeur de la chanson française... Toutefois, on ne sait rien, ou presque rien, sur la période précédant le moment de son accession sur le devant de la scène. C'est à cette période que s'attache Aïda Aznavour-Garvarentz en apportant des informations sur le passé des siens et par conséquent celui, aussi, de son frère. Des liens très étroits unissaient les Aznavour et Missak Manouchian. Cela explique toutes les pages, certainement les plus intéressantes, de ce livre de souvenirs, qu'Aïda Aznavour-Garvarentz lui consacre. Nous avons là, un témoignage particulièrement émouvant et humain venant compléter celui de Mélinée Manouchian. » — Gérard Bédrossian, Cahiers arméniens

A piece in English about the book appeared in The California Courier.

Product Details

BN ID: 2940162586692
Publisher: Plunkett Lake Press
Publication date: 09/26/2021
Sold by: Barnes & Noble
Format: eBook
File size: 414 KB
Language: French

About the Author

Née en 1923 à Salonique, en Grèce, Aïda Aznavour-Garvarentz émigra à Paris en 1924 avec ses parents où ils vécurent dans la pauvreté au quartier Latin. Son père, musicien arménien dont le succès se limitait à la communauté arménienne, travaillait dans des restaurants, et sa mère cousait dans leur minuscule logement pour aider à nourrir la famille. Son frère, Charles Aznavour (1924-2018), né à Paris, devint l’un des chanteurs français les plus célèbres du 20ème siècle. Aïda et Charles furent élèves à l’École des enfants du spectacle, aujourd’hui le Collège Rognoni, rue du Cardinal-Lemoine.

Pendant l’occupation nazie, en liaison avec le groupe de résistance Missak Manouchian, la famille d’Aïda abrita dans leur appartement parisien des Arméniens, des Juifs et d’autres individus recherchés par les Allemands. En 2017, Aïda et Charles reçurent en Israël du Président Reuven Rivlin le prix Raoul Wallenberg pour leurs activités pendant la Seconde guerre mondiale.

Aïda se lança dans une carrière de chanteuse à la fin des années 50 mais y renonça après avoir épousé en 1965 Georges Garvarentz (1932-1993), fils du célèbre poète et musicien arménien, Kevork Garvarentz, auteur de l’hymne national d’Arménie. Georges composa la musique pour de nombreuses chansons de Charles Aznavour, parmi lesquelles Prends garde à toi (1956), Et pourtant (1962), Paris au mois d’août (1966), et pour des films à commencer par Un taxi pour Tobrouk en 1960.
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