Mathilde Bombart est maîtresse de conférences habilitée à diriger les recherches à l'Université Jean Moulin Lyon 3 où elle co-dirige l'équipe IHRIM Lyon 3 (UMR 5317). Centrant son travail sur l'histoire des pratiques de publication et de lecture, elle est l'auteur de Guez de Balzac et la Querelle des Lettres. Écriture, polémique et critique dans la France du premier XVII e siècle (Paris, Champion, 2007). Elle a dirigé plusieurs ouvrages collectifs, sur la " Lecture à clé " (revue Littératures classiques, 2005, avec M. Escola), ou encore La connivence. Pour lire entre les mots à l'époque moderne (Cahiers du GADGES, 2016, avec A. Bayle et I. Garnier). Elle a co-dirigé un programme de recherche sur la pratique du recueil, qui a donné lieu à un volume collectif " Une Histoire de la poésie par les ouvrages même des poètes " ? Le Recueil Barbin (1692), paru en 2019 dans la revue, Pratiques & formes littéraires 16-18. Les Cahiers du GADGES (avec M. Rosellini et M. Cartron). Ces travaux se prolongent actuellement par un projet sur la notion de recueil factice et la publication en cours du livre Le Savoir des clefs. Ecriture et lecture à clef dans la France du XVIIe siècle. Sylvain Cornic, maître de conférences en littérature française, consacre ses recherches aux relations entre l'art dramatique et la musique, de la seconde moitié du XVIIe siècle au début du XVIIIe, à l'opéra et au théâtre français de la même période, au dramaturge Philippe Quinault. Il vient de publier aux Classiques Garnier l'édition critique des comédies de Quinault, deuxième tome du Théâtre complet de cet auteur. Edwige Keller-Rahbé est maîtresse de conférences en littérature française du XVIIe siècle à l'Université Lumière Lyon 2. Chercheuse au sein de l'Institut d'Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités (IHRIM-UMR 5317), ses travaux s'organisent autour de trois axes principaux : les genres narratifs et fictionnels ; les femmes de lettres du second XVIIe siècle (Marie-Catherine Desjardins de Villedieu, Catherine Bernard, femmes dramaturges) ; les rapports entre littérature, livre et librairie (en particulier les privilèges d'impression). Sa dernière contribution parue est : " Dramaturges du dix-septième siècle ", Martine Reid (dir.), Femmes, littérature. Une histoire culturelle, I, Martine Reid (dir.), Paris, Gallimard, " Folio essais ", 2020, p. 691-716. Michèle Rosellini est chercheuse au sein de l'Institut d'Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités (IHRIM-UMR 5317). Ses travaux portent sur les pratiques de lecture et les usages du livre au XVIIe siècle, le courant libertin (particulièrement le libertinage licencieux) et sa réception au XIXe siècle (Sorel, Cyrano, Blessebois), la poésie épicurienne à l'âge classique (Théophile, Malleville, Tristant l'Hermite). Elle a co-dirigé, avec Mathilde Bombart et Maxime Cartron, le programme de recherche sur la pratique du recueil qui a donné lieu au volume collectif, mentionné plus haut : " Une Histoire de la poésie par les ouvrages même des poètes " ? Le Recueil Barbin (1692) Dernier ouvrage paru (en collaboration avec Stéphane Zékian) : Un XVIIe siècle hors Panthéon. Les libertins au XIXe siècle (XVIIe siècle, n° 283, avr.-juin 2019).
